L’éTOFFE DU FUTUR

L’étoffe du futur

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Le tailleur avait nettement compté un être humain méthodique, mesurant tout haute couture avec une précision implacable. Pourtant, dans ces conditions qu’il commençait à mélanger les bijoux du costume ténébreux, il sentit une étrange tension rentrer sur ses épaules. L’étoffe semblait absorber la luminosité, et n'importe quel phase qu’il ajoutait résonnait en tant qu' un battement de cœur dans l’atelier silencieux. Les jours passèrent, et aussi à son usage, il observait discrètement son travail manuel. D’ordinaire, ses costumes prenaient espérance de vie par-dessous ses main, se modelant à la symbole grâce à leur avenir propriétaire. Mais ce dernier restait figé dans une teinte noire absolue, tels que une ombrage impossible à proférer. Puis, une nuit, il remarqua une anomalie : le tissu semblait s’être épaissi sans prétexte, notamment s’il absorbait une matière inapparent. Le tailleur ne pouvait s’empêcher d'avoir un malaise florissant. Il savait que les vêtements portaient souvent des emblèmes cachés, des fils de la destinee entrelacés dans leur trame. Chaque ressources qu’il avait cousue jusqu’alors avait évolué suivant les des occasions de faire la fête destins, mais celle-ci demeurait figée dans un sinistre insondable. Une voyance pure sérieuse par téléphone pourrait lui imprimer une piste, mais il savait que cette fois, c’était lui qui devait lire les signes de son propre boulot. Plus les évènements avançaient, plus il redoutait l’instant où son client viendrait récupérer le costume. Lorsqu’il posa les derniers boutons sur la veste, il eut un impression glacial. Chaque fil semblait s’être resserré, enfermant quelque chose d’invisible dans l’étoffe. Était-ce une prédiction ? Un appel ? Ou bien ce costume portait-il en lui un destin infaillible ? Il aurait pu borner là, refuser de livrer la ordre, mais son test en tant sur le plan que maître tailleur était d’achever son métier. Il se força à plier la veste et le pantalon à ras, rangeant le tout dans une housse de défense. Pourtant, pendant la durée où il referma l’atelier pour la nuit, un sentiment le hanta : ce costume n’appartenait pas à ce monde. Le tailleur savait que quelque chose allait adevenir. La aspect était de posséder la maitrise de s’il pouvait encore l’empêcher. Une voyance pure sérieuse par téléphone lui aurait sans ombrage soufflé une solution, mais il était infiniment tard pour reculer.

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